Le paludisme a tué, l’an dernier, 4.000 personnes dont 3.000 enfants au Burkina et est la « première cause de consultation, d’hospitalisation et de décès », a-t-on appris dimanche auprès du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP).
Au cours de « l’année 2016, nous avons enregistré environ 9,8 millions de cas de paludisme et déploré malheureusement 4.000 décès dont 3.000 chez les enfants de moins de 5 ans », a indiqué le coordonnateur du PNLP, le Dr Yacouba Sawadogo, en prélude à la journée mondiale contre le paludisme, le 25 avril.
Malgré une baisse de 1,2% des décès (plus de 5.000 morts en 2015), le paludisme « demeure la première cause de consultation, d’hospitalisation et de décès dans notre pays », a-t-il relevé, précisant que « pour les trois premiers mois de l’année 2017, nous sommes à environ 2 millions de cas de paludisme avec 680 décès’’.
Sur la période 2015-2017, le PNLP a élaboré un plan stratégique doté de 41 milliards de F CFA (63 millions d’euros) pour « contenir la maladie » dans ce pays pauvre d’Afrique de l’ouest.
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