« Il n’est jamais facile de satisfaire les besoins médicaux d’une population, encore moins dans un pays pauvre. Le système de santé y est précaire et la situation peut se dégrader du jour au lendemain. En tant que médecin yéménite, je pense qu’il n’y a malheureusement pas de meilleur exemple que celui de mon pays. Chaque jour, j’y observe les difficultés rencontrées par les médecins et les patients. Au Yémen vous pouvez mourir du paludisme et votre enfant de la rougeole si vous n’arrivez pas à temps à l’hôpital. Le problème, c’est qu’à cause de la guerre, il n’y a plus beaucoup d’hôpitaux », se soucie le Dr. Abdullah Ridman.
Avant que le conflit ne s’emballe en mars 2015*, le système de santé parvenait à prodiguer gratuitement des soins dans les salles d’urgence des hôpitaux publics, à fournir les médicaments nécessaires au traitement du diabète, de l’hypertension, de la tuberculose ou de la leishmaniose.
[…]
Cet article vous intéresse ? Pour en lire la suite cliquez ici ou copiez collez le lien en fin d’article
Dernières news sur la santé (Vous pouvez proposer 1 news sur ce sujet):