Les 82 écolières nigérianes qui ont été libérées du groupe jihadiste Boko Haram après plus de trois ans de captivité, devront patienter avant de retrouver leurs familles, a déclaré mercredi à l’AFP un représentant des parents.
Yakubu Nkeki, chef du « collectif des parents des filles kidnappées de Chibok », a affirmé que ces derniers ne pourraient voir leurs filles que sur autorisation du gouvernement.
« Cela peut prendre du temps, car les filles sont actuellement soumises à des tests médicaux et psychologiques pour s’assurer qu’elles sont dans le meilleur état », a-t-il déclaré à l’AFP.
Les adolescentes ont été libérés samedi après des semaines de négociations, en échange de plusieurs combattants jihadistes détenus par les autorités nigérianes.
« Ça ne nous dérange pas d’attendre … Leur santé et leur bien-être sont notre priorité et une telle évaluation prend du temps, en particulier avec un si grand nombre de filles », a-t-il ajouté.
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