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Quatre de nos partenaires nous demandent des volontaires à corps et à cri.

Au Liban, notre partenaire soutient une école qui accueille 130 enfants réfugiés syriens répartis dans 10 petites classes de la maternelle au collège. Les enfants réfugiés syriens ont été à l’école où l’enseignement se fait en arabe, or au Liban, qui accueille tout de même un million de réfugiés syriens, l’enseignement est systématiquement bilangue arabe anglais ou arabe français les matières littéraires en arabe et les matières scientifique en français. Pour pouvoir accéder à l’école publique libanaise, les enfants doivent se mettre à niveau en Français ou en Anglais. Notre partenaire souhaiterait que nous établissions un afflux continu de volontaires capables d’enseigner l’anglais ou le français dès le niveau « maternelle » jusqu’au niveau 6ème /5ème. Nous devons, avec lui, relever le défi !

En Inde, c’est notre partenaire de Bengalore qui a besoin  de volontaires pour travailler avec des enfants porteurs de handicap. Comme ce sont des enfants d’origine très modeste, les centre d’accueil de jour qu’il a mis au point « mélangent » tous les handicaps sensoriels, moteurs et cognitifs. Il est important d’aider ce partenaire à acquérir des compétences diversifiées pour répondre au trois niveaux de handicap par le développement d’activités individualisées autour de l’apprentissage classique, artistique, ou « sportif » afin de laisser à chaque enfant la
chance de s’en sortir en compensant son handicap par une valorisation de ses atouts.
En Haïti, notre partenaire souhaite développer un grand potager, pour améliorer l’alimentation des enfants de l’orphelinat -100 enfants- et du groupe scolaire -350 enfants-. Ce sont des compétences en agronomie d’une part et aussi de la main d’œuvre pour faire le travail qu’il
aimerait que nous « drainions » vers lui… Les « flots continues » sont notre mode de travail et c’est aussi ce qu’il nous demande.
A Madagascar, nous repartons pour une nouvelle année auprès des 450 enfants de l’école/collège et la trentaine de fillettes du foyer d’accueil nuit et jour. Soutenir les maitresses dans leur classe -plutôt les classes de primaire- aider les fillettes à faire leurs devoirs le soir et surtout parler français : c’est la langue utilisée pour tous les examens de passage et c’est aussi la langue qui leur servira à se construire un avenir. Rejoignez-les !

Prenez contact avec Femmes en mission humanitaire

[…]

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